J’ai beaucoup utilisé rEFIt ces dernières semaines, c’est un outil qui permet de faire du multi-boot sur Mac. Je vous invite à l’essayer en le récupérant ici. Par contre, je voulais me faire deux petites notes pour plus tard, avant d’oublier…
rEFIt a vraiment du mal à fonctionner avec deux disques dur. Par exemple, impossible d’installer Windows 7 tant que le second disque dur est partitionné. J’en conclus donc : si on a plusieurs disques durs, il faut tous les enlever sauf un pour installer les OS dessus. On peut rajouter les autres ensuite.
Enfin, la petite astuce que j’ai cherchée pendant longtemps : il faut appuyer sur F10 pour prendre une capture de l’écran de démarrage. Ensuite, pour la récupérer, il faut monter la partition de l’EFI avec un truc du genre mount -t msdos /dev/disk0s1 /MonPointDeMontage.
Petite précision de la part de Julien : W7 à besoin d’une partition système (100 Mo par défaut, qui doit être étendue si on utilise Bitlocker). Cette partition doit être formatée en NTFS et est cachée… Elle contient, entre autre, les données nécessaires à l’amorçage du système.
Je suis en train de travailler sur un dossier qui implique une bonne compréhension du processus d’amorçage des disques durs et comme je n’ai pas trouvé d’information claire et structurée, je vais essayer de partager avec vous ce que j’ai trouvé. L’idée est de banaliser le technique pour comprendre globalement comment ça marche sans pour autant rentrer dans les détails, je vous mettrais en fin d’article quelques liens pour approfondir le sujet.
Le principe général de l’amorçage
Le micrologiciel embarqué sur le matériel (le BIOS ou l’EFI) effectue ses opérations de test et de configuration initiale puis va interroger la zone amorce du disque dur.
La zone amorce du disque dur (MBR ou GPT). Cette partie spécifique du disque dur se trouve son tout premier secteur, c’est le seul endroit auquel le micrologiciel peut accéder. La particularité de la zone amorce est de connaître les différentes partitions du disque dur. Elle permet donc de charger le chargeur d’amorçage (noté « B » sur le schéma) du système d’exploitation que se trouve au début de la partition où il est installé.
Le MBR ou Master Boot Record
Ce type de zone amorce date des premiers PC compatibles IBM à disque dur. Elle est utilisée de concert avec le BIOS, qui date de la même époque et elle est couramment implémenté par le constructeur informatique depuis lors. Un de ses plus gros défauts est de ne supporter que quatre partitions principales. On lui reproche aussi aussi d’être la cause d’une perte d’espace importante lors de l’utilisation de gros disques dur.
Le GTP ou GUID Table Partition
Cette zone amorce a été originellement développée par Intel pour fonctionner avec l’EFI, l’Extended Firmware Interface, qui doit, à moyen terme, remplacer le BIOS. Largement programmable, l’EFI est rétrocompatible, il est possible, en quelque sorte, de programmer un BIOS et de la charger de manière transparente pour permettre l’exécution d’ancien système d’exploitation. L’EFI est nativement reconnue par Windows depuis la sortie de version 64bits, elle tourne avec GNU/Linux et est indispensable au fonctionnement de Mac équipés de processeurs Intel. Enfin, l’EFI avec le GTP permet d’utiliser un plus grand nombre de partitions, ainsi qu’une interface graphique.
Je vous annonce avec plaisir qu’un de mes articles va à nouveau être publié par le magazine Linux Pratique. Dans le numéro 59 qui sera dans les kiosques le mois prochain, vous trouverez un article de fond sur la réalisation d’un Live-CD de A à Z, c’est-à-dire en commençant par un système minimal à l’aide de debootstrap jusqu’à la création finale de l’image ISO comme le préconise la communauté Ubuntu.
Ça y est, tout est prêt pour le départ. En réalité, tout était déjà prêt depuis plusieurs jours à un t-shirt près. C’est bien la première vois que mes bagages sont fini depuis plus de 24 h avant le départ.
Question technologie : j’emméne rien ou presque. Juste mon iPhone et une batterie de secours. Pour le reste (appareil photo, ordinateur etc.) je compte exploiter le matériel de ma douce et tendre.
La Rochelle H
Gare de La Rochelle
Poitiers
Poitiers, deux minutes d’arrêt… Et quinze de retard ! Officiellement : probléme au passage à niveau de Surgères. Pour la raison « réelle », je ne saurais vous dire. Le principal et que je n’ai pas raté ma correspondance pour le Charles de Gaulle. Cette fois ci, j’ai décidé de voyager en porte-avions pour éviter de traverser Paris en Metro, RER et/ou bus Air France!
Charles de Gaulle I
Bon ça y est, mes bagages sont enregistrés, mes rollers sont dans la casier « bagages fragiles » et j’ai mon boarding pass. Quand vous lirez ces lignes, je serais déja de l’autre côté du contrôle des douanes.
Note pour maman : j’ai bien ma cargaison d’aspirine.
PS : je décolle à 15 h 35
Charles de Gaulle II
Je suis en salle d’embarquement et tous les indicateurs sont au vert. Je vais bientôt suspendre ma ligne de téléphone et je risque donc d’être invisible pendant les prochaines 24 heures. Si j’ai du temps et du WiFi je ferais un petit post depuis l’aéroport de Dubai pendant ma correspondance d’un peu plus de trois heures.
Je suis passablement épuisé : les oreilles m’en cuisent. Comme vous me connaissez, j’ai eu une nuit courte et agitée… Je pense que je vais ranger mes livres et essayer de dormir entre Paris et Dubai.
À bientôt !
Dubaï
Je suis arrivé à l’aéroport de Dubaï. J’ai passé la douane et le check-in : j’attends mon prochain avion. La structure est couverte en WiFi mais le débit est lent, je ne sais pas si je vais pouvoir vous envoyer les deux photos que j’ai pris en vol : le plantage du systéme multimédia fonctionnant pourtant sous Linux et le ciel étoilé de l’éclairage de nuit. Pour les photos de l’aéroport en lui même ce sera au retour avec l’appareil de Meng car mon iPhone est limité de ce côté-ci.
Pour la description, c’est très Middle-Est ! Tout est très propre avec un toit suffisement haut pour y mettre de faux palmier grandeur nature, des couleurs très claires avec beaucoup de métal astiqué, des dorures par ci par là et soit des dalles de qualité soit de la moquette au sol. Question techonoligie y’a tout mais ça marche sans plus, comme le WiFi, certain écrans sont en panne etc. Pour les anecdotes : les toilettes sont équipés de douchettes, les douanes de salle de fouille individuelles (pour les femme voilées) et les homme du cru sont fiers, barbu et en vêtement traditionnel. Contrairement à chez nous, ici, il les fumoirs exustent toujours. Enfin, le staff et visiblement immigré comme au KSA.
Note pour maman : j’ai bien pris mon aspirine et j’ai fait des execices en vol pour ma circulation sanguine.
Note pour Pauline : j’ai pris un Iced Vanilla Latte au Starbuck Cafe.
Détail sympa : une sécurité sans Vigipirate, on a moins l’impression d’être enfermé ici. J’aime aussi le côté » la famille d’abord » au niveau des installations et de l’embarquement mais c’est très arabe autant que je m’en rapelle
Vous trouverez dans la suite une méthode efficace pour mettre en service le WiFi sans utiliser Ndiswrapper sur une Eee Box. Je me suis arrété sur une xubuntu mais la méthode présenté sera fonctionnelle sur tous sytèmes basés sur Debian.